Sous-titrée "victimations sexistes, sexuelles et LGBTphobes dans des collèges et lycées franciliens", cette étude analyse l'impact et la pluralité des (cyber)violences de genre de la 6ème à la terminale, tant à l’école que dans le cyberespace. Elle démontre que les personnes LGBTQIA+, notamment les personnes trans et non binaires, sont plus massivement exposées à ces violences de genre.